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  • 4 months plus tard...
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Publié le

Grrrr Tanhouarn m'a pris de vitesse ! Je viens d'en achever la lecture et avait prévu un commentaire... c'est fait.

Roman en tous points passionnant (mais quand même un peu hardu à lire : le livre est très épais - donc lourd et les caractères petits - vive les lunettes...)

Un scénario en tous points surprenant mellant la réalité historique avec le fantastique. Les guerres Napoléoniennes ou la ville de Venise sur fond de magie ! L'auteur nous menne dans une intrigue à la limite du roman policier entre deux mondes entremélés. C'est tellement bien écrit qu'on finit par y croire.

Bref, foncez.

Un petit conseil : le roman est édité avec deux couvertures, une blanche et une noire. Préférez la blanche car la noire déteint un peu et vous aurez le bouquin assez longtemps en mains.

Publié le

Bonjour !

Oui en fait je disais que j'avais commencé à le lire chez Virgin

et que les premières pages m'avaient intrigué...

Et donné envie de poursuivre ma lecture !

Mais la critique de notre ami qui dit que si vous avez aimé

Potter et le Seigneur me laisse maintenant sceptique

quand à la poursuite éventuelle de ma lecture :

les bouquins, et films tirés de Potter et du Seigneur,

m'ont passablement ennuyé !

Petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

Publié le

Merci Thomas ;)

A l'intention de Petitbonhomme, ce livre ne s'adresse pas qu'aux inconditionnels du Seigneur des anneaux ou Harry Potter, mais par contre, si on évolue dans ce milieu de littérature fantastique, on peut découvrir des ponts entre les différentes oeuvres, et des relations intéressantes. L'écriture n'est certes pas la même, mais on y retrouve un fond enchanteur identique.

Pour ce qui est de Strange, son ancrage dans l'époque napoléonnienne provoque une ambiance qui se rapprocherait des "Entretien avec un vampire", "Lestat" et autres livres du genre. Sauf que l'on y est encore plus grâce aux détails qui fourmillent tout au long de l'opus : des annotations diverses qui renvoient à des événements historiques réels ou à des livres qui semblent réels. Cette multitude de détails n'est pas sans rappeler le travail de Chelman, pour ne citer que lui, sur la nécessité d'ancrer le spectateur dans le réel, de provoquer une suspension d'incrédulité et d'emmener ainsi le spectateur dans le monde que l'on souhaite.

Suzanna Clarke trouve ici à mon sens le même esprit. Mais qui plus est, on trouvre même un peu la mentalité des magiciens actuels, et c'est là que l'ancrage est relativement fort pour peu que l'on se mette à la place de Strange.

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

  • 3 weeks plus tard...

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    • Hello,  Parmi ceux qui possèdent ce livre, il y en aurait-il qui voudraient partager leurs impressions ? Merci d'avance 🙂  W.
    • Toujours disponible! Baisse de prix: 40 € fdpi Bonne journée!  
    • Hello Minh J’adore le choro. Mais si j’ai relayé une reprise de Tico-Tico c’est surtout parce qu’il s’agissait d’une interprétation à quatre mains… sur une seule guitare. L’idée de ce sujet dans VM est de montrer des propositions musicales décalées, des musiciens hors norme, des instruments peu communs… Il ne s’agit pas de présenter les musiciens ou les morceaux qu’on aime ou qu’on préfère (sinon il y aurait évidemment beaucoup de musiques brésiliennes et notamment celles de guitaristes comme Baden Powell et Antônio Carlos Jobim) : ici on fait dans le bizarre ! 😀 Justement il existe un morceau magnifique interprété par ses deux géants, dont au moins l’intro colle avec le sujet :   L’idée « originale » est de reproduire en partie le timbre du berimbau avec une guitare, et son esprit :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Berimbau Mais ChatGPT est plus explicite encore, citation :    « La chanson “Berimbau” (Baden Powell & Vinicius de Moraes, 1962) porte ce titre parce que tout le morceau est construit comme un hommage direct au berimbau, à sa fonction dans la capoeira et à ce qu’il symbolise culturellement. Mais ce n’est pas seulement parce que c’est un « nom d’instrument » : il y a trois raisons principales. 🎵 1. Imiter le jeu du berimbau à la guitare L’un des objectifs musicaux de Baden Powell était effectivement de transposer le rôle rythmique et hypnotique du berimbau sur une guitare classique. Il imite la pulsation ostinato du berimbau. Il reproduit l’alternance grave / claqué, typique de l’instrument. Il crée une texture quasi « monocorde », comme le berimbau qui n’a qu’une corde. 👉 Le motif de guitare de “Berimbau” est pensé comme une traduction guitare du jeu du capoeiriste. Baden Powell a expliqué dans plusieurs entretiens qu’il voulait que la guitare soit capable de « jouer comme un berimbau », même si elle ne peut évidemment pas imiter son timbre exact. 🥋 2. Le texte de Vinicius de Moraes célèbre la philosophie du berimbau Vinicius ne parle pas seulement de l’instrument : il décrit la loi du berimbau, c’est-à-dire le code moral de la capoeira. Les paroles énoncent une série de maximes : « Quem é homem de bem, não trai » « Berimbau me chamou » « É melhor ser humilde com os humildes » Ce sont des préceptes traditionnels qui renvoient à la sagesse populaire des maîtres de capoeira. Ainsi, l’instrument est un symbole culturel, presque un “guide moral”, pas seulement un effet sonore. 🇧🇷 3. Le berimbau comme emblème afro-brésilien Dans les années 1960, Baden Powell et Vinicius de Moraes cherchaient à intégrer des éléments des cultures afro-brésiliennes dans leurs œuvres : Candomblé Capoeira Rythmes africains Sambas de roda Le berimbau est emblématique de cette identité. En nommant la chanson ainsi, ils revendiquent son ancrage afro-brésilien et lui donnent une place centrale dans leur projet musical (ce qui culminera plus tard avec Os Afro-sambas). 📌 En résumé La chanson s’appelle Berimbau parce que : La guitare imite le jeu rythmique du berimbau (objectif musical). Les paroles décrivent la philosophie de la capoeira et les “lois” du berimbau (objectif poétique et culturel). Baden Powell et Vinicius voulaient célébrer les racines afro-brésiliennes dans une forme accessible et populaire. » Donc, ta remarque est très juste : il y a bien une intention de retrouver l’esprit (pas le timbre exact) du berimbau à la guitare, mais ce n’est qu’un aspect d’un hommage plus large à sa symbolique. »
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